Nombre total (cumulatif) des cas de VIH/sida

7 623

Cas de VIH/sida chez les enfants (de 0 à 14 ans)

465

Cas de VIH/sida chez les adultes (>14 ans) , dont nombre de cas déterminés en 2005

7 158

Cas de sida chez les enfants

26

Cas de sida chez les adultes

465

Nombre total des cas de sida

491

Nombre cumulatif des cas de séropositivité

6 261

Chez les enfants

4 478

Chez les adultes

1 955

Nombre total de patients séropositifs

383

Nombre total de personnes vivant avec le VIH/sida

11 187

Nombre total de patients souffrant du VIH/sida dont on a perdu la trace

512

Nombre total de patients sous traitement A R VTA

6 400

Nombre total de patients sous surveillance médicale

7 623

Nombre de cas fin 2005

Cas de sida , dont 1 158 de plus de 14 ans

4 163

Cas d ’ infection au VIH , dont 1 035 de plus de 14 ans

2 930

Nombre de femmes enceintes ayant passé un test de VIH/sida en 2005

Âge

Nombre total de femmes testées

Test positif

De 0 à 14 ans

128

15 à 19 ans

6 875

12

20 à 24 ans

16 395

20

25 à 29 ans

19 341

9

30 à 34 ans

11 433

12

35 à 39 ans

4 347

5

  > 40 ans

697

Âge inconnu

4 278

5

Total

63 494

63

Répartition par âge et année de diagnostic des cas de séropositivitéchez les femmes

\s

La situation en Roumanie en matière de VIH/sida en 2005 présentait certains aspects particuliers :

•L’augmentation globale du nombre de personnes infectées au VIH demandant des traitements et soins médicaux;

•L’augmentation du nombre de personnes ayant accès à un traitement antirétroviral très actif (5 547 – la Roumanie a le nombre le plus élevé de personnes vivant avec le VIH/sida de toute l’Europe orientale et centrale). Les coûts du traitement ARVTA et de celui des infections d’opportunité sont imputés sur les fonds du sous-programme 1.2 et fournis gratuitement;

•Le grand nombre de survivants à long terme âgés de 13 à 15 ans. Ces derniers appartiennent au groupe d’enfants nés entre 1987 et 1990, principal groupe dans lequel des cas de VIH/sida ont été successivement décelés;

•Le dépistage de nouveaux cas pédiatriques (enfants nés en 1988, 1989 et 1990), ayant survécu à long terme, et l’élimination de la transmission dans les hôpitaux après 1994;

•L’augmentation de la transmission mère-enfant (TME) enregistrée après 1994. Ce fait a déterminé des mesures telles que l’enregistrement de toutes les femmes enceintes, l’application systématique de la prophylaxie pour la prévention de la TME du VIH;

•L’augmentation rapide du nombre de nouveaux cas enregistrés chez les adultes de 19 à 49 ans par transmission hétérosexuelle;

•La perspective d’un nombre accru de nouveaux cas d’infection au VIH chez les utilisateurs de drogues injectables.

D ’ après le rapport (p. 38), la mortalité maternelle demeure « plus élevée que dans les autres pays européens ». Veuillez indiquer les mesures prises pour réduire les taux de mortalité maternelle. Veuillez également fournir des données sur les taux d ’ anémie chez les femmes et sur les mesures prises à cet égard.

La tendance de la mortalité maternelle globale est à la baisse : elle est tombée de 0,84 ‰ en 1990 à 0,30 ‰ en 2003.

La mortalité maternelle par suite de risque obstétrique est tombée de 0,26 ‰ naissances vivantes en 1990 à 0,17 ‰ en 2003.

La mortalité maternelle à la suite d’avortement est tombée de 0,58 ‰ en 1990 à 0,13 ‰ en 2003.

Entre 2001 et 2004, les chiffres suivants ont été enregistrés concernant la mortalité maternelle :

Indicateur

2001

2002

2003

2004

Mortalité maternelle globale

0,34  ‰

0,22  ‰

0,30  ‰

0,24  ‰

Mortalité maternelle par suite de risque obstétrique

0,17  ‰

0,13  ‰

0,17  ‰

0,12  ‰

Mortalité maternelle à la suite d ’ avortement

0,17  ‰

0,09  ‰

0,13  ‰

0,12  ‰

Les principales mesures dans le domaine de la santé maternelle et infantile sont les suivantes :

–Régionalisation des soins de santé obstétriques et néonatals;

–Création de nouveaux niveaux de compétence et de supraspécialisation permettant de répondre aux besoins actuels des services médicaux;

–Promotion de l’allaitement au sein en élargissant le système de séjour dans les maternités et en augmentant le nombre d’hôpitaux bien adaptés aux soins des bébés;

–Amélioration de l’assistance médicale d’urgence par des mesures concernant l’infrastructure locale des communications et des transports, plus grande efficacité de la réponse aux situations d’urgence, en particulier dans les zones rurales, formation spécifique du personnel médical aux urgences obstétriques et pédiatriques, modernisation des services de soins intensifs de santé néonatale, d’obstétrique et de gynécologie et de pédiatrie en réorganisant les salles d’opération et en fournissant les équipements nécessaires.

Afin d’améliorer la qualité des soins aux femmes enceintes et aux nouveau-nés, à compter de l’automne 2003 un programme de formation de sages-femmes a été établi au niveau universitaire. Ce programme permettra d’identifier et de suivre l’état de santé des femmes enceintes et de garder le contact avec les médecins de famille afin d’enregistrer les femmes enceintes et de faire des tests de prévention pendant la grossesse et après la naissance; le programme participera également à la diffusion d’informations concernant le déroulement de la grossesse et les soins aux nouveau-nés.

L’on a aussi envisagé d’harmoniser les politiques en matière de santé et de protection sociale, compte tenu des réalités socioéconomiques en Roumanie.

Dans le cadre de la décentralisation et au vu du renforcement de la responsabilité des autorités locales, le Ministère de la santé encourage les initiatives locales concernant l’amélioration de l’état de santé de la population en déterminant les besoins spéciaux et les solutions appropriées.

Les mesures législatives

a)À partir de 2001, le contrat-cadre concernant les conditions de fourniture d’assistance médicale dans le contexte du système social d’assurance santé et ses règlements méthodologiques permet d’apporter une assistance médicale gratuite à toutes les femmes enceintes, aux nouveau-nés et aux tout petits enfants quel que soit leur statut social; il accorde également des bénéfices aux médecins de famille qui inscrivent les enfants dans le besoin sur leur liste de patients;

b)La décision gouvernementale 534/2002 approuvant la Stratégie de remise en état et de réorganisation de l’assistance médicale avant l’hospitalisation dans les domaines de l’obstétrique, de la gynécologie et de la santé néonatale en Roumanie pour la période 2002-2004;

c)L’ordonnance 458/2004 concernant l’amélioration de l’accès des femmes enceintes aux enquêtes médicales et aux consultations spécialisées;

d)L’ordonnance 12/2004 sur l’adoption du Protocole concernant la méthodologie de la consultation avant et après la naissance, le manuel des femmes enceintes et l’annexe sur la surveillance médicale de la grossesse et de l’accouchement;

e)La Stratégie de promotion de l’allaitement au sein (ordonnance 809/2003);

f)Le Programme RoNeonat pour la réorganisation de l’assistance néonatale;

g)L’ordonnance 660/2005 concernant des services sociaux plus efficaces dans les maternités et hôpitaux pédiatriques;

h)L’ordonnance d’urgence 96/2003 concernant la protection de la maternité sur le lieu de travail.

La prévention de l’anémie ferriprive chez les femmes enceintes est une intervention du troisième programme de santé national en faveur de la mère et de l’enfant. En 2005, 89 217 femmes enceintes, soit 59,48 % de la population cible, ont bénéficié de cette intervention. À partir de 2001, le nombre de bénéficiaires avait augmenté d’année en année : 38 447 femmes enceintes en 2001, 50 778 en 2002, 59 087 en 2003 et 73 893 en 2004.

Selon le rapport (p. 38), le Ministère de la santé a mis au point, en collaboration avec les organisations nationales et internationales, une stratégie nationale pour amener davantage de Roumains à utiliser les nouvelles méthodes de contraception. Tout en reconnaissant que cette stratégie est une étape importante vers l ’ amélioration de l ’ hygiène sexuelle et de la santé en matière de procréation, le Rapporteur spécial sur le droit de toute personne de jouir du meilleur état de santé physique et mental susceptible d ’ être atteint (voir E/CN.4/2005/51/Add.4) note avec préoccupation que le taux d ’ avortement demeure élevé, ce qui semble indiquer que certaines femmes considèrent l ’ avortement comme une forme de planification familiale. Veuillez fournir des informations sur les obstacles qui empêchent les femmes, en particulier les groupes vulnérables ou marginalisés comme les femmes rurales ou les Roms, d ’ avoir accès aux services de santé de la procréation. Veuillez indiquer comment la stratégie prévoit de remédier à ces obstacles et quel est son impact. Veuillez également fournir des informations à jour sur l ’ utilisation des méthodes de contraception et sur les taux d ’ avortement.

Autre intervention faite dans le cadre du troisième Programme national de santé : « Ouvrir davantage l’accès aux services de santé de la reproduction », avec deux objectifs principaux en 2005 :

–Renforcer l’assistance médicale primaire aux services de santé de la reproduction en même temps qu’aux services spécialisés;

–Promouvoir les méthodes contraceptives modernes.

Les objectifs sont de réduire le nombre de grossesses non désirées ainsi que le nombre d’enfants abandonnés, ainsi que d’améliorer la qualité des soins prénatals et postnatals et de réduire la mortalité maternelle comme suite à l’avortement en distribuant gratuitement des contraceptifs aux groupes vulnérables.

En outre, le Programme de planification familiale a été couronné de succès, comme le montrent les chiffres suivants (les colonnes représentent le nombre croissant de médecins de famille fournissant des services de planification familiale; le nombre de bénéficiaires a atteint 181 000; le taux d’avortement est tombé à 0,948 pour 1 000 naissances vivantes).

Résultats du Programme de planification familiale

2000-2004 2401 0802 5702 311240181,000147,60153,57018,05016,5001 0991 1561 1761 0589482000200120022003Juin 2004Nombre de prestataires de services de planification familiale dans le système d’assistance primaireNombre de bénéficiaires actifs des services de planification familialeTaux d’avortement (pour 1 000 nouveau-nés vivants)

Les femmes rurales

Veuillez fournir des informations à jour sur la situation des femmes vivant en milieu rural et indiquer les mesures mises en place par le Gouvernement pour améliorer leur accès aux services de santé, à l ’ éducation et à l ’ emploi, ainsi que leur participation à la prise de décisions, à tous les niveaux.

L’ANES a proposé, par le biais de la Stratégie nationale pour l’égalité des chances des hommes et des femmes pour la période 2006-2009, des mesures visant à faciliter aux femmes risquant l’exclusion sociale, comme les femmes rurales, l’accès aux services d’assistance sanitaire, à une formation initiale ou continue pour les aider à trouver et à garder un emploi. La Stratégie contient des objectifs visant à :

•Renforcer l’égalité d’accès des femmes et des hommes au marché du travail;

•Concilier vie de famille et travail;

•Stimuler une participation équilibrée des hommes et des femmes au processus de prise de décisions;

•Lutter contre les stéréotypes et les rôles sexistes dans le système d’éducation;

•Promouvoir le développement des services de soins dans la communauté à l’intention des enfants et des personnes âgées qui en ont besoin;

•Promouvoir des mesures permettant un horaire de travail souple.

Le mariage et les relations familiales

Dans ses observations finales précédentes, le Comité s ’ est déclaré préoccupé par la différence de l ’ âge au mariage des garçons (18 ans) et des filles (16 ans, ou 15 ans à titre exceptionnel) dans le Code de la famille. Le Comité des droits de l ’ enfant a exprimé les mêmes préoccupations dans ses observations finales précédentes. Le Gouvernement a-t-il pris des mesures pour porter à 18 ans l ’ âge minimum du mariage chez les filles?

D’après l’article 4 du Code de la famille, un homme ne peut se marier que s’il a atteint l’âge de 18 ans, et une femme celui de 16 ans. Toutefois, pour des raisons graves, le mariage d’une femme de 15 ans peut être approuvé. Le projet de code civil actuellement débattu au Parlement stipule que, tant pour les hommes que pour les femmes, un mariage peut être approuvé, pour des raisons graves, s’il/elle a atteint l’âge de 16 ans.

On trouvera ci-après le projet de règlement :

«  Article 204

1)Un mariage peut être célébré à condition que les deux époux aient atteint l’âge de 18 ans.

2)Les mineurs de plus de 17 ans ne peuvent se marier qu’avec le consentement de leurs parents ou, le cas échéant, de leur tuteur. Si l’un des parents est décédé ou dans l’incapacité d’exprimer sa volonté, le consentement de l’autre parent suffit.

3)Au cas où il n’y a ni parents ni tuteur pour donner leur consentement, celui-ci devra être donné par la personne ou l’autorité qui a été habilitée à exercer les droits parentaux.

4)Toutefois, pour des raisons graves, les mineurs qui ont atteint l’âge de 16 ans peuvent se marier sur la base d’une approbation médicale, à condition que, outre le consentement prévu au paragraphe 2, ils aient également obtenu l’approbation du conseil de comté ou, le cas échéant, celle du maire de la ville de Bucarest, dans la juridiction duquel le mineur est domicilié. »

Le Protocole facultatif

Veuillez décrire les mesures prises pour faire connaître le Protocole facultatif à la Convention et en encourager l ’ application.

Du fait de l’adoption de la Stratégie nationale pour l’égalité des chances entre hommes et femmes et du Plan d’action pour l’application de la Stratégie, il est obligatoire de prendre des mesures et actions spécifiques pour promouvoir l’intégration de toutes les dispositions internationales concernant l’égalité des sexes, ainsi que les mesures visant à faire connaître et promouvoir l’ensemble du cadre juridique visant à appuyer les femmes et à respecter la dignité humaine et les droits de l’homme.

Annexe I

Prévalence de la consommation de tabac et fardeaudes maladies liées au tabagisme

1.Données récentes sur la prévalence de la consommationde tabac chez les adultes

[Suggestion : voir l’Étude de la mesure des niveaux de vie (Banque mondiale)]

Pays

Hommes (pourcentage)

Femmes (pourcentage)

Groupe d ’ âge

Taille de l ’ échantillon (national ou non)

Année de l ’ enquête

Fréquence de l ’ utilisation de tabac

Source d ’ information

Autres observations

Roumanie

35,2

17,9

14-24

1 209/ n ational

2003

Quotidienne

Centre des politiques et services de santé – « Connaissances, attitudes et pratiques de l ’ utilisation du tabac en Roumanie »; projet financé par l ’ Union européenne, publié en 2004

Total : 27,2

Roumanie

6,8

7,9

14-24

1 209/ n ational

2003

Occasionnelle

Idem

Total : 7,3

Roumanie

42,0

25,8

14-24

1 209/ n ational

2003

Fumeurs invétérés (quotidiennement + occasionnellement)

Idem

Total : 34,5

Roumanie

50,6

29,8

14-24

1 209/ n ational

2003

Ayant fumé dans leur vie*

Idem

Total : 40,6

Roumanie

48,3

23,3

25-34

1 209/ n ational

2003

Quotidienne

Idem

Total : 35,9

Roumanie

6,0

2,7

25-34

1 209/ n ational

2003

Occasionnelle

Idem

Total : 4,0

Roumanie

54,3

26,0

25-34

1 209/ n ational

2003

Fumeurs invétérés (quotidiennement + ccasionnellement)

Idem

Total : 39,9

Roumanie

68,0

38,0

25-34

1 209/ n ational

2003

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Total : 53,0

Roumanie

43,0

22,1

35-44

1 209/ n ational

2003

Quotidienne

Idem

Total : 32,4

Roumanie

6,5

8,0

35-44

1 209/ n ational

2003

Occasionnelle

Idem

Total : 6,8

Roumanie

49,5

30,1

35-44

1 209/ n ational

2003

Fumeurs invétérés (quotidiennement + occasionnellement)

Idem

Total : 39,3

Roumanie

72,6

38,4

35-44

1 2 09/ n ational

2003

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Total : 55,0

Roumanie

35,4

16,4

45-60

1 209/ n ational

2003

Quotidienne

Idem

Total : 25,1

Roumanie

7,4

2,6

45-60

1 209/ n ational

2003

Occasionnelle

Idem

Total : 4,9

Roumanie

42,9

19,0

45-60

1 209/ n ational

2003

Fumeurs invétérés (quotidiennement + o ccasionnellement)

Idem

Total : 29,9

Roumanie

68,6

25,5

45-60

1 209/ n ational

2003

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Total : 45,8

Roumanie

40,0

19,5

Total (14-60)

1 209/ n ational

2003

Quotidienne

Idem

Total : 29,7

Roumanie

6,7

4,9

Total (14-60)

1 209/ n ational

2003

Occasionnelle

Idem

Total : 5,6

Roumanie

46,7

24,5

Total (14-60)

1 209/ n ational

2003

Fumeurs invétérés (quotidiennement + occasionnellement)

Idem

Total : 35,3

Roumanie

64,2

32,0

Total (14-60)

1 209/ n ational

2003

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Total : 47,9

Roumanie

61,8**

15-24

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Agence nationale de lutte contre la drogue – « Prévalence de la toxicomanie en Roumanie » – financé par le Fonds mondial; publié en 2005

Roumanie

33,3

15-24

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

32,9

15-24

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

Idem

Roumanie

70,5

25-34

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Roumanie

46,0

25-34

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

46,0

25-34

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

Idem

Roumanie

65,0

35-44

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Roumanie

40,0

35-44

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

40,0

35-44

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

Idem

Roumanie

62,7

45-54

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Roumanie

39,3

45-54

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

38,7

45-54

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

Idem

Roumanie

44,2

55-64

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Roumanie

20,3

55-64

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

19,7

55-64

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

Idem

Roumanie

62,1

Total (15-64)

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Roumanie

36,8

Total (15-64)

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

36,5

Total (15-64)

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

Idem

Roumanie

75,4

48,7

Total (15-64)

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé dans leur vie

Idem

Roumanie

48,0

25,5

Total (15-64)

3 500/ n ational

2004

Ayant fumé récemment (au cours de l ’ année passée)

Idem

Roumanie

48,7

25,3

Total (15-64)

3 500/ n ational

2004

Fument actuellement (ont fumé au cours du mois passé)

*Ayant fumé dans leur vie : personnes fumant actuellement + personnes ayant fumé plus de 100 cigarettes dans leur vie mais qui n’ont pas fumé au cours du mois précédant l’enquête.

**Les taux de prévalence par sexe et par âge ont été calculés séparément.

*Veuillez décrire brièvement la stratégie d’échantillonnage (par exemple, s’agit-il d’un échantillonnage aléatoire où les données ont été collectées dans les ménages, etc.).

2.Données récentes sur la prévalence de la consommation de tabac chez les jeunes

(Suggestion : voir le Projet des écoles européennes sur l’alcool et les autres drogues, 2003, « Comportement sanitaire des enfants d’âge scolaire », Enquête mondiale sur le tabac chez les jeunes)

Pays

Garçons (pourcentage)

Filles (pourcentage)

Groupe d ’ âge

Taille de l ’ échantillon

Année de l ’ enquête

Fréquence de l ’ utilisation du tabac

Source d ’ information

Autres observations

Roumanie

65,1

49,1

13-15

4 118

2004

Ayant fumé dans leur vie

Enquête mondiale sur le tabac chez les jeunes

27,1

19,7

Idem

Idem

Idem

Actuellement fumeurs

Idem

Roumanie

70,8

58,5

14-18

4 371

2003

Ayant fumé dans leur vie

Projet des écoles européennes, Roumanie

*Veuillez décrire brièvement la stratégie et la méthode d’échantillonnage.

3.Autres éléments déterminants de la consommation de tabac

A.Cadre urbain/zone rurale

Pays  :

Roumanie

Nombre total de résidents  :

Recensement de 2002

21 680 974

Nombre de résidents urbains  :

Recensement de 2002

11 435 080

Nombre de résidents ruraux  :

Recensement de 2002

1 024 589

2000*

22 435 205

2000

12 244 598

2000

1 019 060

2001*

22 408 393

2001

12 243 748

2001

1 016 464

2002*

21 794 793

2002

11 608 735

2002

1 018 605

2003*

21 733 556

2003

11 600 157

2003

1 013 339

2004*

21 673 328

2004

11 895 598

2004

9 777 730

Centre des politiques et services sanitaires – « Connaissance, attitudes et pratiques concernant l ’ utilisation du tabac en Roumanie »; projet financé par l ’ Union européenne, publié en 2004

Prévalence de la consommation de tabac (total)

Personnes ayant fumé dans leur vie : 47,9 %

Fumeurs invétérés : 35,3 %

Personnes fumant quotidiennement : 29,7 %

Prévalence de la consommation de tabac (urbaine)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 51 %

Fumeurs invétérés : 37,9 %

Prévalence de la consommation de tabac (rural)

Personnes ayant fumé dans leur vie : 44,1 %

Fumeurs invétérés : 32 %

Agence nationale de lutte contre la drogue – « Prévalence de l ’ usage de drogues en Roumanie » – étude financée par le Fonds mondial, publiée en 2005

Prévalence de la consommation de tabac (total)

Personnes ayant fumé dans leur vie : 62,1 %

Fumeurs invétérés : 36,5 %

Prévalence de la consommation de tabac – urbaine > 50 001 ménage s :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 68,5 %

Fumeurs invétérés (le mois dernier) : 40,6 %

Prévalence de la consommation de tabac (rural)

Personnes ayant fumé dans leur vie : 53,9 %

Fumeurs invétérés : 31,4 %

Prévalence de la consommation de tabac – urbain 10 001-50 000 ménages :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 67,5 %

Fumeurs invétérés (le mois dernier) : 40,1 %

*Source : Institut national de statistique.

B.Éducation

Pays  :

Roumanie (recensement de 2002)

Nombre total de résidents  :

21 680 974

Résidents ayant un niveau d ’ études inférieur à l ’ école primaire (sans aucune instruction)  :

1 083 935

Résidents ayant reçu une éducation primaire  :

3 898 996

Résidents ayant reçu une éducation secondaire  :

12 490 872

Centre des politiques et services sanitaires – « Connaissance, attitudes et pratiques concernant l ’ utilisation du tabac en Roumanie », étude publiée en 2004

Prévalence de la con -s ommation de tabac (total)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 47,9 %

Fumeurs invétérés : 35,3 %

Personnes fumant quotidiennement : 29,7 %

Prévalence de la consommation de tabac (niveau inférieur à l ’ éducation primaire)  :

Données non disponibles

Prévalence de la consommation de tabac (éducation primaire)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 39,8 %

Fumeurs invétérés : 31,4 %

Prévalence de la consommation de tabac (éducation secondaire)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 52 %

Fumeurs invétérés : 38 %

Agence nationale de lutte contre la drogue – « Prévalence de l ’ usage de drogues en Roumanie » – étude financée par le Fonds mondial en 2005

Prévalence de la con -s ommation de tabac (total)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 62,1 %

Fumeurs invétérés (le mois dernier) : 36,5 %

Prévalence de la consommation de tabac (niveau inférieur à l ’ éducation primaire)  :

Données non disponibles

Prévalence de la consommation de tabac (éducation primaire)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 33,3 %

Fumeurs invétérés : 33,3 %

Prévalence de la consommation de tabac (éducation secondaire)  :

Personnes ayant fumé dans leur vie : 65,8 %

Fumeurs invétérés : 38,6 %

C.Exposition à la fumée de tabac ambiante

Pays

Hom mes pourcentage total

Femmes pourcentage total

Enfants pourcentage total

Année de l ’ enquête

Source d ’ information

Autres observations

Les seules données dont on dispose sur l’exposition à la fumée de tabac ambiante sont les suivantes :

Pays

« Au cours de la semaine passée, sur votre lieu de travail, combien de jours quelqu ’ un a-t-il fumé dans le même espace que vous? »

Fumeurs invétérés

Non fumeurs

Total

Source

Roumanie

Aucun

26,7

57,5

46,7

Centre des politiques et services sanitaires – « Connaissances, attitudes et pratiques concernant l ’ utilisation du tabac en Roumanie »; projet financé par l ’ Union européenne, publié en 2004

Quelques jours

15,5

16,9

16,4

Idem

Presque tous les jours

19,3

11,2

14,0

Idem

Tous les jours

38,5

14,3

22,9

Idem

« Au cours de la semaine passée, sur votre lieu de travail, combien de jours quelqu ’ un a-t-il fumé dans la même salle que vous? »

Roumanie

Aucun

28,5

61,7

50,0

Idem

Quelques jours

26,4

18,7

21,4

Idem

Presque tous les jours

10,1

5,8

7,3

Idem

Tous les jours

34,9

13,7

21,2

Idem

« Combien de fumeurs y a-t-il chez vous? »

Roumanie

Aucun

0,0

61,4

40,4

Idem

Un

42,6

27,9

32,4

Idem

Deux

40,7

8,2

19,6

Idem

Plus de trois

16,5

2,5

7,5

« Qui fume chez vous? »

Roumanie

Père

66,1

57,1

Idem

Mère

45,4

24,9

Idem

Frère(s) et sœur(s)

45,4

18,8

Idem

Autres personnes

85,9

73,1

Idem

D.Lieu d’exposition à la fumée de tabac ambiante

« Où fumez-vous? »

Hommes

Femmes

Total adultes

Sources des données

Enfants 13-15

Source

À la maison

91,4

92 , 7

91,9

Centre des politiques et services sanitaires – « Connaissances, attitudes et pratiques concernant l ’ utilisation du tabac en Roumanie »; projet financé par l ’ Union européenne, publié en 2004

95,1 (actuellement fumeurs)

84,6 (n ’ ayant jamais fumé)

Enquête mondiale sur le tabac chez les jeunes

Roumanie

Lieu de travail (pourcentage)

64,2

56,4

61,5

Idem

Lieux publics ( pourcentage )

77,7

52,4

68,9

Idem

92,3 (actuellement fumeurs)

78,3 (n ’ ayant jamais fumé)

Dans la rue

62,2

9,2

43,8

Idem

4.Consommation par habitant

Pays

1995

1996

1997

1998

1999

2000

2001

2002

2003

2004

D’après le Ministère de l’agriculture, la consommation de cigarettes est restée constante au fil des ans, s’établissant entre environ 35 000 et 40 000 tonnes.

Une consommation de 35 000 milliards de cigarettes a été confirmée par un journal en 2004 (la source était probablement l’industrie du tabac).